À la radio de CIHO (dans Charlevoix)

Ce matin, j'ai fait une entrevue téléphonique préenregistrée avec René Bélanger, animateur à CIHO, la radio de Charlevoix.

L'entrevue sera diffusée mardi prochain, à ce que j'ai compris.

Monsieur Bélanger avait beaucoup aimé Enthéos. Ses questions portaient essentiellement sur les thèmes abordés et sur les études anciennes, car il a trouvé assez original ce champ d'intérêt!

Comments

[Julie GravelR]

Lux: Bof. C'est déjà chose du passé! Et j'aimerais bien cuisiner mon prochain roman... ça mijote, ça mijote... mais pas autant que je le voudrais. Manque de temps!

Molécule: Je pense que tu as bien raison. La visibilité n'est pas à négliger. On a vu bien en évidence la couverture d'Enthéos, le titre de l'article était assez accrocheur. (D'ailleurs, à ce propos, je suis assez chanceuse pour les articles qui ont parlé d'Enthéos, les titres sont toujours évocateurs.) Et puis, maintenant, je m'attends à ce que l'attention médiatique diminue, donc la poursuite de la vie littéraire d'Enthéos reposera désormais sur les libraires et le bouche à oreille, comme tu le mentionnais.

Caroline: Quelle belle surprise de te voir passer ici! Je suis bien contente que tu lises mon roman! Je ne sais pas si tu adhèreras à tout ce que j'y relate, j'ai ratissé large, disons. Donc je me suis permis des libertés avec la matière! Concernant The Secret history (Le maître des illusions), je l'ai lu aussi (au début de mon baccalauréat, à l'époque) et j'avais aussi beaucoup aimé. L'auteur Donna Tartt a étudié dans le même domaine que moi et je pense que ça nous a influencées toutes les deux!

[Caroline]

Bonjour Julie!

Je suis dans ton roman depuis hier, et il m'a complètement agrippée! Peut-être parce que j'étudie dans une faculté de théologie, les références académiques que tu y fais me passionnent et m'interpellent. Et j'y entends des échos de "Secret History" de Donna Tartt que j'ai adoré...

Bravo pour cette oeuvre et pour ton parcours.

Caroline (jadis blogueuse à Londres)

[Molécule]

Tu sais Danaée, les critiques, dans les médias, c'est avant tout de la visibilité. Que veux-tu, les gens ne lisent bien souvent que les titres et les images valent 1000 mots. Or, une très bonne critique n'étant pas accompagnée par la photo de la couverture du roman est 100 fois moins efficace qu'une critique plus ou moins dythirambique accompagnée de l'image frontispice de l'oeuvre et un bon titre accrocheur.
Alors selon moi, la critique D'Elsa Pépin donne à ton livre de bonnes chances d'attirer l'attention et la curiosité des lecteurs qui le croiseront du regard dans les librairies. Et s'ils prennent le temps de s'y arrêter, ils découvriront toute la chaleur, la profondeur et l'âme de ton récit, chose qu'Elsa n'a apparemment pas su capter.
J'ai eu toutes sortes de critiques pour mes livres. Parfois des désastreuses et des enthousiastes pour le même livre. Les goûts et les couleurs! Mais le bouche à oreille et les conseils des libraires font souvent plus pour la circulation d'un livre que les mots imprimés dans des quotidiens bien éphémères.

Comment va ton prochain bouquin? ;-)

[Lux]

... Oui, comme dirait Bécaud: «Et le spectacle continue...». Une critique décevante et hop! Elle se trouve annulée par un animateur radio charlevoisien intéressé.
Ainsi va la vie. Si on fait le total, Enthéos est un succès d'appréciation. Ça commence assez bien; alors tu oublies le reste et tu te concentres sur tout ce qui va à ton goût. Si tu tiens à mijoter, cuisine ton deuxième roman ;)