Préparation du lancement
Ces jours-ci, je suis en plein préparatifs en vue du lancement du roman qui devrait avoir lieu dans la semaine du 25 août.
D’abord, j’ai fait quelques démarches pour trouver un endroit propice pour tenir l’activité. J’avais en tête mon cégep parce que c’est un lieu qui n’aurait pas coûté trop cher. J’aurais pu avoir la collaboration de la COOP. Mais j’ai fini par orienter mon choix vers une salle plus en vogue à Québec, un lieu où beaucoup d’événements culturels se tiennent : Le Cercle, sur la rue Saint-Joseph, dans le quartier Saint-Roch.
J’attends encore la confirmation du Cercle pour la date et les détails d’organisation. Mais ça semble sur la bonne voie.
Mardi matin, j’avais rendez-vous avec Éric Simard pour un topo concernant le lancement. On a regardé un peu les délais et les dates qui s’en viennent, question que tout tombe sur les rails. Car il faut aussi tenir compte des autres engagements d’Éric (n’oublions pas que je ne suis pas l’unique auteur chez Septentrion, ni le seul lancement en vue pour la rentrée littéraire!) sans compter qu’Éric tombe bientôt en vacances.
En ce qui concerne l’organisation sur les lieux du lancement, c’est Éric et l’équipe de Septentrion qui vont gérer cela (le vin d’honneur, les ventes du livre, etc.). Moi, de mon côté, je m’occupe de dresser ma liste d’invitations. De plus, mon artiste d’Amoureux et moi nous occupons de créer le carton d’invitation, dossier qui est d’ailleurs avancé. Ensuite, il faudra envoyer les cartons à l’impression puis faire les envois. Cela nous mène dans la semaine du 7 août. En plus, je compte bien aussi utiliser Facebook pour publiciser l'évènement.
À travers cela se profile mon retour au travail, dès les premiers jours du mois d’août. À partir de cette date, je devrai combiner mes deux « vies ». Et il y a un détail qui me tracasse un peu : j’aurai mon horaire de cours dans la semaine du 12 août mais la date du lancement, elle, sera déjà fixée! Il est donc probable que j’aie un conflit d’horaire à gérer! Avec un peu de chances, tout s’arrangera.
Mais d’ici là, j’ai encore plein d’adresses postales à retracer! Quel casse-tête!