Le chapeau de Kafka: les artifices sans la magie
Il y a bien des
raisons qui peuvent nous pousser à lire un livre. Et sans doute autant d’aimer
ou non une lecture.
Pour ma part, quand
je lis par loisir, j’essaie de porter mon choix sur des œuvres qui sauront m’amener
ailleurs, me faire réfléchir. Me nourrir. Je ne cherche pas à priori un divertissement en ouvrant
un livre. Cela n’est certes pas exclu, mais ce n’est pas le but recherché.
La lecture du roman
Le chapeau de Kafka, malheureusement, s’est résumée pour moi en un divertissement.
Un divertissement de qualité, mais sans plus. Jeu d’esprit, ce livre présente
plusieurs histoires imbriquées les unes dans les autres telles, comme en fait
foi la quatrième de couverture, des « poupées gigognes ».
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Patrice Martin, Le chapeau de Kafka. Montréal, XYZ éditeur, 2008, coll. "Romanichels", 133 pages.
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